LPG & environnement

Celui qui tient à l’environnement opte pour le LPG comme carburant. Choisir le LPG, c’est choisir pour moins de poussières fines, moins de CO² et moins de NOx.

 Quelques chiffres pour souligner le potentiel du LPG :

• Emissions de CO² : - 11 % par rapport à l’essence
• Emissions de poussières fines : - 95 % par rapport au diesel
• Emissions de NOx : - 85 % par rapport au diesel (les NOx ne sont pas arrêtés par un filtre à particules).

Lorsque vous faites le plein de LPG, il n’y a pas de dégagement de vapeurs, au contraire de l’essence.
En outre, le LPG roule très souplement et silencieusement (le bruit constitue aussi une pollution de l’environnement).

Une considération additionnelle : le LPG constitue un sous-produit des processus de raffinage. Chaque année, les raffineries en brûlent des quantités gigantesques. En roulant au LPG, vous évitez ce gaspillage et roulez donc (dans une certaine mesure) de façon neutre en CO².

Au contraire des autres carburants alternatifs, le LPG est disponible en quantité et à un prix économiquement très intéressant.

 A propos du CO² :
"Le dioxyde de carbone et d’autres gaz chauffent naturellement la surface de la planète en captant la chaleur du soleil dans l’atmosphère. C’est une bonne chose, car elle maintient notre planète habitable. Cependant, en brûlant des carburants fossiles tels que le charbon, le gaz et le pétrole, et en défrichant les forêts, nous avons augmenté de façon dramatique la quantité de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre, et les températures sont en augmentation." http://www.climatecrisis.net/thescience/


À propos des poussières fines :
Selon le rapport d’environnement pour la Flandre (MIRA-T 2004), les poussières fines représentent la cause principale de perte d’années de vie saines par la pollution atmosphérique. Selon ce rapport, on a perdu en 2003 en Flandre pas moins de 25.000 années de vie par suite de cette pollution atmosphérique par les poussières fines ! Une enquête européenne révèle qu’en Europe de l’Ouest, il meurt plus de personnes à cause des gaz d’échappement du trafic que par accidents. Cette étude pointe elle aussi le doigt sur les poussières fines comme étant le principal coupable.


À propos du NOx et du SO² :
Les émissions d’oxydes d’azote (NOx) et de soufre provoquent une acidification de notre environnement. Les émissions acidifiantes ont non seulement un effet sur la valeur pH de la pluie. L’acidification entraîne une atteinte des écosystèmes (p. ex. bruyères et marécages). L’acidification peut également augmenter les concentrations de nitrates dans les nappes phréatiques et provoquer la lixiviation de métaux dans ces eaux. L’inhalation de composants acidifiants et l’absorption d’eaux phréatiques polluées peuvent entraîner des troubles de la santé chez l’homme. Les dépôts acidifiants provoquent en outre une corrosion des matériaux et une altération accélérée des bâtiments.